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Recherche sur le dioxyde de chlore chez l'homme

Sur cette page, vous trouverez des liens vers des recherches sur le dioxyde de chlore qui sont directement liées à l’homme et ne concernent pas les applications industrielles ou le traitement de l’eau. Cette collection n’est pas complète, mais elle comprend les études scientifiques les plus pertinentes sur le dioxyde de chlore à ce jour.

Aperçu essentiel avril 2024

1) Rapport de consensus international sur le SRAS-Cov-2, COVID-19 et le système immunitaire : une vision orthomoléculaire
Société internationale de médecine orthomoléculaire
ISSN:0834-4825

https://isom.ca/article/an-international-consensus-report-on-sars-cov-2-covid-19-and-the-immune-system-an-orthomolecular-view/

2. Le dioxyde de chlore dans COVID-19 : hypothèses sur le mécanisme d’action moléculaire possible dans le SRAS-CoV-2
Médecine moléculaire et génétique
ISSN: 1747-0862
https://www.hilarispublisher.com/abstract/chlorine-dioxide-in-covid19-hypothesis-about-the-possible-mechanism-of-molecular-action-in-sarscov2-52824.html

3. Une nouvelle perspective pour la prévention et la guérison des patients atteints de COVID-19 : encourager les équipes médicales à contacter les personnes guéries traitées avec une solution de dioxyde de chlore (CDS)
Conférence intégrative sur les sciences médicales
ISSN: 2658-8218
https://mbmj.org/index.php/ijms/article/view/229

4. Détermination de l’efficacité du dioxyde de chlore dans le traitement du COVID-19
Médecine moléculaire et génétique
ISSN: 1747-0862
https://www.hilarispublisher.com/open-access/determination-of-the-effectiveness-of-chlorine-dioxide-in-the-treatment-of-covid19-67319.html

5. Le dioxyde de chlore comme traitement alternatif pour COVID-19
Journal des maladies infectieuses et de la thérapie.
ISSN: 2332-0877
https://www.omicsonline.org/open-access/chlorine-dioxide-as-an-alternative-treatment-for-covid19.pdf

6. Une étude d’observation rétrospective de l’efficacité du dioxyde de chlore pour la prophylaxie des symptômes de type COVID19 chez les membres de la famille vivant avec des patients atteints de COVID19.
REVUE INTERNATIONALE DE RECHERCHE ET D’ANALYSE MULTIDISCIPLINAIRE
ISSN: 2643-9875
http://ijmra.in/v4i8/2.php

7. Interaction moléculaire et inhibition de la liaison du SARS-CoV-2 au récepteur ACE2
Nature communications chemistry selections
ISSN :2188-5044
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32917884/

8. COVID19 Effets à long terme chez les patients traités au dioxyde de chlore
Revue internationale de recherche et d’analyse multidisciplinaire
ISSN :2643-9875
http://ijmra.in/v4i8/14.php

9. Etude comparative du dioxyde de chlore hyperpur avec deux autres irrigants en relation avec la viabilité des cellules souches du ligament parodontal de Springer.
ISSN: 2627-8626
https://link.springer.com/article/10.1007/s00784-020-03618-5

10. Eradication du SARM par le dioxyde de chlore Journal of Bacteriology and Mycology
ISSN: 2469-2786
https://medcraveonline.com/JBMOA/JBMOA-09-00306.pdf

11. Évaluation de l’efficacité et de la sécurité d’une solution de dioxyde de chlore
Conférence internationale sur la recherche environnementale et la santé publique
ISSN: 1660-4601
https://www.mdpi.com/1660-4601/14/3/329/htm

12. Le dioxyde de chlore est un agent antimicrobien sélectif en fonction de la taille.
PLOS ONE
ISSN: 1932-6203
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0079157

13. Inactivation de l’hémagglutinine du virus de la grippe par le dioxyde de chlore : oxydation du résidu conservé tryptophane 153 au site de liaison du récepteur Journal of General Virology
ISSN: 1465-2099
https://www.microbiologyresearch.org/content/journal/jgv/10.1099/vir.0.044263-0

14. le dioxyde de chlore peut-il empêcher la propagation des coronavirus ou d’autres infections ?
virales ? Hipotesis médicas Academic Publishing House
ISSN: 2061-4705
https://akjournals.com/view/journals/2060/107/1/article-p1.xml

15. Inactivation des rotavirus humains et simiens par le dioxyde de chlore
Société américaine de microbiologie (« ASM »)
ISSN: 0196-8254
https://journals.asm.org/doi/10.1128/aem.56.5.1363-1366.1990

16. Évaluations cliniques contrôlées du dioxyde de chlore, du chlorite et du chlorate chez l’homme
Perspectives en matière de santé environnementale (EHP)
ISSN: 1542-6351
https://ehp.niehs.nih.gov/doi/10.1289/ehp.824657

17. Efficacité clinique et microbiologique du dioxyde de chlore dans la gestion des
candidose atrophique chronique : une étude ouverte Int Dent J. 2004 Jun;54(3):154-8. Mohammad AR, Giannini PJ, Preshaw PM, Alliger H. doi: 10.1111/j.1875-595x.2004.tb00272.x. PMID: 15218896.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0020653920350929?via%3Dihub

18. Dénaturation des protéines par le dioxyde de chlore : modification oxydative des résidus de tryptophane et de l’acide chlorhydrique.
tyrosine Biochimie ACS PUB
ISSN: 1044-5099
https://pubs.acs.org/doi/full/10.1021/bi061827u

19. Le dioxyde de chlore inhibe la réplication du virus du syndrome reproductif et respiratoire porcin en bloquant l’adhésion virale.
ISSN :0922-3444
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1567134818305549?via%3Dihub

20. Effets du dioxyde de chlore sur l’hygiène bucco-dentaire : revue systématique et méta-analyse.
Conception pharmaceutique actuelle
ISSN :1873-4286
https://www.eurekaselect.com/article/106659

21. Cinétique et mécanismes d’oxydation de la cystéine et du glutathion inorganique par le dioxyde de chlore et le chlorite. Chem. ACS PUB
ISSN: 1044-5099
https://pubs.acs.org/doi/full/10.1021/ic0609554

22. La région de 40-80 nt dans le 50 -NCR du génome est une cible critique pour l’inactivation du poliovirus par le dioxyde de chlore.
Journal de virologie médicale
ISSN :1096-9071
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/6295277/

23. étude de l’activité virucide du dioxyde de chlore. Données expérimentales sur le calicivirus félin, le VHA et le Coxsackie B5 Journal of preventive medicine and hygiene ISSN:1121-2233
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18274345/

24. cinétique et mécanisme de la désinfection bactérienne par le dioxyde de chlore American Society for Microbiology
ISSN: 0569-7603
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC546889/

25. Étude sur la résistance des coronavirus associés au syndrome respiratoire aigu sévère.
Elsevier
ISSN :0922-3444
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0166093405000649?via%3Dihub

26. Effet protecteur du dioxyde de chlore à faible concentration Journal de virologie générale
ISSN :1465-2099
https://www.microbiologyresearch.org/content/journal/jgv/10.1099/vir.0.83393-0

27) L’irrigation nasale au dioxyde de chlore peut-elle être considérée comme une alternative thérapeutique possible pour les maladies infectieuses respiratoires ? L’exemple du COVID-19
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36504072/

28. Prévention des infections et réparation des tissus dans les lésions cutanées par des traitements
basée sur une solution de dioxyde de chlore : Etude de cas
https://www.literaturepublishers.org/assets/images/articles/pNf0Sb_ziYD97_60HZa5_3mc6LU_399176.pdf

29. La toxicité de la protéine de pointe COVID-19 est un phénomène de commutation redox : une nouvelle approche thérapeutique Doi.org/10.1016/j.freeradbiomed.2023.05.034
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0891584923005014

30. Le dioxyde de chlore et le chlorite comme traitements des ulcères du pied diabétique International Journal of Medicine and Medical Sciences Text Editor
DOI:10.5897/IJMMS2023.1503
https://www.semanticscholar.org/reader/a29e004fec0292d0bddaa0d616e29a529019a34b

31. Cas clinique : application compassionnelle d’une solution à base de dioxyde de chlore chez un patient atteint d’un cancer de la prostate métastatique Santé, science et technologie 2024
DOI: https://doi.org/10.56294/saludcyt2024699

32. Éradication de E. coli, S. aureus, K. pneumoniae, S. pneumoniae, A.
baumannii et P. aeruginosa résistants aux antibiotiques à base de dioxyde de chlore in vitro Société européenne de médecine.
https://esmed.org/MRA/mra/article/view/4218

33. Rapport de cas : Résolution de la fracture pathologique d’un lymphome non hodgkinien métastatique grâce à un traitement compassionnel. Manuel Aparicio-Alonso, Verónica Torres-Solórzano
https://revista.saludcyt.ar/ojs/index.php/sct/article/view/830/1584

34. L’administration intratumorale de dioxyde de chlore exploite ses propriétés semblables à celles des ROS : une nouvelle approche pour une thérapie efficace du cancer.

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2023.11.24.568512v1

Rapport de consensus international sur le SRAS-Cov-2, COVID-19 et le système immunitaire : une vision orthomoléculaire

URL: https://isom.ca/article/an-international-consensus-report-on-sars-cov-2-covid-19-and-the-immune-system-an-orthomolecular-view/

Société internationale de médecine orthomoléculaire

ISSN:0834-4825

Auteur(s) : Michael J Gonzalez1,3‚4; Jorge R Miranda-Massari2‚4; Peter A McCullough5; Paul E Marik6; Pierre Kory7; Ryan Cole8; Geert Vanden Bossche9; Charles Simone10; Manuel Aparicio Alonso11; Ernesto Prieto Gratacos12; Atsuo Yanagisawa13; Richard Cheng14; Eduardo Insignares-Carrione15; Zhiyong Peng¹6; Robert J Rowen¹7; Teresa B Su¹7; Frank Shallenberger18; David Brownstein19; Thomas Levy20; Jorge L Cubrias21; Arturo O’Byrne Navia22; Arturo O’Byrne De Valdenebro23; Alex Vasquez24; Ron Hunninghake25; Andrew Saul26; Hugo Galindo27; Andreas L. Kalcker28; Mayca Gonzalez29; Luis A Bonilla-Soto30; María Carrascal31; José W Rodriguez Zayas32; Efrain Olszewer33; Michaël Friedman34; Miguel J Berdiel35; Norman O Gonzalez36; Jose Olalde37; Ines Alfaro38; Roberto Ortiz39; Angie Perez40; Carlos H. Orozco Araya41; Luis Martinez42; Rosalina Valcarcel43; Sylvia Nuñez Fidalgo44; Fernando Pinto Floril45; Raul Morales Borges46; José R Rodriguez-Gomez47; José A Rodriguez-Robles48; Ramphis Diaz49; Carlos M Ricart50

  1. Université de Porto Rico, Campus des sciences médicales, École de santé publique, San Juan PR.
  2. Université de Porto Rico, Campus des sciences médicales, École de pharmacie, San Juan PR.
  3. Université Centrale de Caribe, Ecolé de Chiropractie, Bayamón, PR.
  4. EDP University, Programme de Science Naturopatique, Hato Rey, PR.
  5. Fondation Truth for Health, Tucson, AZ.
  6. Front Line COVID-19 Alliance pour les soins intensifs(FLCCC) et École de médecine de Virginie orientale, Département de médecine interne, VA.
  7. Front Line COVID-19 Alliance pour les soins intensifs, Madison, WI.
  8. Cole Diagnostics, Garden City, ID.
  9. Virologue indépendant et expert en vaccins, Colonia, Bélgica.
  10. Simone Protective Cancer Center, Lawrenceville, NJ.
  11. Centre médical Jurica, Querétaro, México.
  12. Oncologie métabolique de précision 12, Cambridge Science Park, Cambridge, Angleterre.
  13. Collège japonais de thérapie intraveineuse, Tokyo, Japon ; Société japonaise de médecine orthomoléculaire, Tokyo, Japon : Société internationale de médecine orthomoléculaire, Toronto, Canada.
  14. Centre de santé intégrative Cheng, Centre de perte de poids du docteur, Colombie, SC.
  15. Association du Liechtenstein pour la science et la santé, Liechtenstein, Suisse.
  16. Hôpital Zhognnan, Université de Wuhan, Wuhan, Hubei, Chine.
  17. Cabinet médical privé, Santa Rosa, Californie.
  18. Cabinet médical privé, Carson City, NV.
  19. Le Centre de médecine holistique à West Bloomfield, MI.
  20. Clinique Riordan, Wichita, KS.
  21. Clinique Cellmedik, Santa Cruz de Tenerife, Espagne.
  22. Cabinet privé, Bogotá, Colombie.
  23. Cabinet privé d’immunologie clinique, Buenos Aires, Argentine.
  24. Collège international de nutrition humaine et de médecine fonctionnelle, Barcelone, Espagne.
  25. Clinique Riordan, Wichita, KS.
  26. Doctor Yourself.com, Rochester, NY.
  27. Centre Médical Country, Bogotá, Colombie.
  28. Recherche indépendante en biophysique, Berne, Suisse.
  29. Clinique Centro, Granade, España.
  30. Université de Porto Rico, Campus des sciences médicales, École de santé publique, Département de santé environnementale, San Juan, PR.
  31. Clinique Carrascal, Río Piedras, PR.
  32. Centre de recherche cardio-pulmonaire, Guaynabo, PR ;
  33. Fondation de soutien et de recherche dans la région de saude-foundation pour la recherche en santé et en médecine Sao Paulo, Brésil.
  34. Association pour l’avancement de la médecine restauratrice (AARM), Montpelier, VT.
  35. Clinique Berdiel, Ponce PR.
  36. Pratique privée de la naturopathie, programme de maîtrise en naturopathie, université EDP de Porto Rico. San Juan, PR.
  37. Centre médical régénératif (CMR), Bayamón et Caguas PR.
  38. Institut Alpha, Caguas, PR.
  39. Université holistique, département de nutrition, Mexico City, Mexique.
  40. Centre médical ICEMI, San José, Costa Rica, CA.
  41. Cabinet médical privé, San José, Costa Rica, CA.
  42. Clinique Xanogene, San Juan, PR.
  43. Cabinet médical privé, San Juan, PR.
  44. Hôpital de la ville de San Juan, service des urgences, San Juan, PR.
  45. Cabinet médical privé, Quito, Équateur.
  46. Santé optimale intégrative de Porto Rico, MB & R’s Enterprise, Institut d’hématologie Ashford & Oncologie, San Juan, PR.
  47. Université Carlos Albizu, San Juan, PR.
  48. Cabinet médical privé, San Juan, PR, y Miami, FL.
  49. Cabinet privé de naturopathie, San Juan, PR.
  50. Université de Porto Rico, Campus de Cayey, Département de biologie, Cayey, PR.

Résumé

La pandémie de SRAS-CoV-2 a créé une situation mondiale sans précédent. En plus d’une nouvelle maladie infectieuse et d’une réponse mondiale sans précédent, un plan d’action sans précédent en matière de recherche, de production, d’essai et de distribution de vaccins a également été mis en place. Le sentiment d’urgence qui entoure la lutte contre la pandémie virale a conduit à des décisions de santé publique fondées sur des informations incomplètes et non vérifiées.

De nombreuses questions relatives au SRAS-Cov-2, au COVID-19 et au système immunitaire doivent être abordées, clarifiées et mises en perspective afin que cette pandémie puisse être évaluée de manière plus objective. Cette analyse peut aider à gérer plus efficacement les nombreux défis auxquels ils sont confrontés, et offrir une réelle opportunité de réduire les complications, les décès et les effets secondaires iatrogènes de l’infection ou de la vaccination, ou des deux.

Ce rapport de consensus a entrepris cette tâche nécessaire afin de fournir une base commune pour gérer efficacement cette situation mondiale.

Le dioxyde de chlore dans le COVID-19 : Hypothèse sur le mécanisme possible d’action moléculaire dans le SRAS-CoV-2

Médecine moléculaire et génétique ISSN: 1747-0862

Eduardo Insignares-Carrione*, Blanca Bolano Gómez et Andreas Ludwig Kalcker

ISSN: 1747-0862

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Introduction

Le COVID-19 est une maladie infectieuse causée par le virus SARS-CoV-2. Il a été détecté pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan (province de Hubei) en décembre 2019. En l’espace de trois mois, elle s’est répandue dans pratiquement tous les pays du monde, ce qui a conduit l’Organisation mondiale de la santé à la déclarer pandémique. (OMS, 11 mars 2020).

Il n’existe pas de traitement spécifique ; les principales mesures thérapeutiques consistent à soulager les symptômes et à maintenir les fonctions vitales. La recherche d’un traitement efficace a commencé dès que l’on a pris conscience de l’ampleur pandémique de la maladie. Le problème central est qu’onze mois après son apparition officielle, il n’existe toujours pas de traitement efficace connu pour cette maladie. En l’absence de traitement efficace, nous explorons de nouvelles possibilités thérapeutiques dans le but de trouver un traitement efficace et sûr pour le COVID-19.


En conséquence, cette recherche aborde les résultats actuels et les recherches précédentes en ajoutant l’action thérapeutique possible du dioxyde de chlore en solution aqueuse et sans la présence de chlorite de sodium comme agent virucide en utilisant les concepts de la médecine translationnelle basés sur la connaissance de la structure du virus et le mécanisme d’action du dioxyde de chlore sur les virus, afin de proposer un traitement possible de choix pour COVID-19. [1,2].

Journal intégratif des sciences médicales (ISSN : 2658-8218)

Enrique A. Martínez Université catholique du Nord, Coquimbo, Chili

URL: https://doi.org/10.15342/ijms.7.229

URL: https://mbmj.org/index.php/ijms/article/view/229

RESUME:

Cet article a pour but d’encourager les équipes médicales du monde entier à contacter les patients du COVID-19 déjà traités avec une solution de dioxyde de chlore (CDS), un gaz soluble dans l’eau. Ils doivent également contacter les équipes médicales qui accompagnent les cas étudiés afin de vérifier l’état de santé réel des patients. Enfin, nous vous invitons à vous demander si le CDS devrait être testé dans vos établissements de santé locaux, car il est peu coûteux, semble très efficace contre toutes les infections virales et n’a pratiquement pas d’effets secondaires.

Le dioxyde de chlore comme traitement alternatif pour le COVID-19

Journal des maladies infectieuses et de la thérapie.

Manuel Aparicio-Alonso, C. Domínguez-Sánchez, Marina Banuet-Martinez

ISSN: 2332-0877

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RESUME:

À ce jour, il n’existe pas d’agent prophylactique efficace pour prévenir le COVID-19. Cependant, le développement de symptômes similaires à ceux du COVID19 a pu être évité grâce à une solution aqueuse de dioxyde de chlore (ClO₂). Cette étude rétrospective a évalué l’efficacité d’une solution aqueuse de ClO₂ (CDS) en tant qu’agent prophylactique chez 1 163 membres de la famille vivant avec des patients COVID positifs/suspects19. Le traitement prophylactique consistait en une solution de dioxyde de chlore (CDS) à 0,0003 % par voie orale pendant au moins 14 jours. Les cas réussis ont été considérés comme les membres de la famille dont les antécédents médicaux ne faisaient état d’aucun développement de symptômes de type COVID19.

L’efficacité du CDS dans la prévention des symptômes de type covid19 était de 90,4 % (1 051 membres de la famille sur 1 163 n’ont signalé aucun symptôme). Les comorbidités, le sexe et la gravité de la maladie du patient malade n’ont pas contribué à l’apparition de symptômes de type covid19 (P = 0,092, P = 0,351 et P = 0,574, respectivement). Cependant, les parents plus âgés étaient plus susceptibles de développer des symptômes de type covid19 (ORa = 4,22, P = 0,002). Aucune modification des paramètres sanguins ou de l’intervalle QTc n’a été observée chez les parents ayant consommé du CDS. Les récentes découvertes sur le dioxyde de chlore justifient la conception d’essais cliniques visant à évaluer son efficacité dans la prévention de l’infection par le SRAS-CoV-2.

Interaction moléculaire et inhibition de la liaison du SARS-CoV-2 au récepteur ACE2

Nature communications chemistry selections (ISSN :2188-5044)

Jinsung Yang, Simon J. L. Petitjean, Melanie Koehler, Qingrong Zhang, Andra C. Dumitru, Wenzhang Chen, Sylvie Derclaye, Stéphane P. Vincent, Patrice Soumillion & David Alsteens

Résumé

L’étude des interactions entre les glycoprotéines virales et leurs récepteurs hôtes est d’une importance vitale pour une meilleure compréhension de l’entrée des virus dans les cellules. L’entrée du nouveau coronavirus SARS-CoV-2 dans les cellules hôtes est médiée par sa glycoprotéine d’entrée (S-glycoprotéine), et l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) a été identifiée comme un récepteur cellulaire.

Nous utilisons ici la microscopie à force atomique pour étudier les mécanismes par lesquels la S-glycoprotéine se lie au récepteur ACE2. Nous démontrons, à la fois sur des surfaces modèles et dans des cellules vivantes, que le domaine de liaison au récepteur (RBD) sert d’interface de liaison au sein de la S-glycoprotéine avec le récepteur ACE2 et nous extrayons les propriétés cinétiques et thermodynamiques de cette poche de liaison. L’ensemble de ces résultats donne une image de l’interaction établie dans les cellules vivantes. Enfin, nous avons testé plusieurs peptides inhibiteurs de liaison ciblant les premières étapes de l’attachement au virus, ce qui ouvre de nouvelles perspectives dans le traitement de l’infection par le SARS-CoV-2.

Revue internationale de recherche et d’analyse multidisciplinaire

1Manuel Aparicio-Alonso,2 Carlos A. Domínguez-Sánchez, 3Marina Banuet-Martínez

(ISSN :2643-9875) https://doi.org/10.47191/ijmra/v4-i8-14

RESUME:

La maladie à coronavirus 2019 (COVID19) a suscité de vives inquiétudes sur le plan sanitaire et surchargé les institutions de santé. Au fur et à mesure que le nombre de patients atteints de COVID19 se rétablit, la fréquence des signalements de symptômes de type COVID19 après la sortie de l’hôpital augmente également. Une enquête téléphonique avec des questions standardisées a demandé aux participants s’ils avaient subi l’une des 25 séquelles possibles après avoir été diagnostiqués avec le COVID19 et traités avec une solution de dioxyde de chlore (CDS).

Cent soixante et une personnes ont répondu à l’enquête. L’augmentation de l’âge s’est avérée être un facteur de risque (OR = 1,035, p = 0,028, 95% CI = 1,004-1,069), et la probabilité d’avoir des symptômes chez les patients modérés est de 0,077 par rapport aux patients légers (p = 0,003). Selon les prévisions, 64,6 % des patients traités par CDS pour une infection par le SRAS-CoV-2 ont subi une moyenne de 3,41 effets à long terme. Le nombre de séquelles rapportées ne varie pas en fonction du sexe, de l’âge, de la gravité de la COVID19 ou de la méthode de traitement. Les cinq symptômes les plus fréquents parmi les 25 différents symptômes à long terme observés dans cette étude sont la fatigue, la perte de cheveux, la dyspnée, les problèmes de concentration et les troubles du sommeil.

En outre, les personnes traitées avec plusieurs médicaments (traitement conventionnel COVID19 plus le CDS) ont eu 2,7 cas de séquelles en moins, et les patients traités exclusivement avec un CDS ont eu 6,14 cas d’effets à long terme en moins. Les personnes recevant du CDS sont 19 % moins susceptibles d’avoir des effets à long terme sur leur santé que les patients recevant un traitement COVID19 standard. Selon les résultats de cette étude, les patients qui reçoivent du CDS sont moins susceptibles de développer des séquelles. En outre, l’incidence des effets à long terme est plus faible chez les personnes traitées exclusivement par le CDS. Les récentes découvertes relatives au dioxyde de chlore soutiennent le développement d’études cliniques visant à évaluer son efficacité dans la prévention du développement des effets à long terme du COVID19.

Une étude d’observation rétrospective de l’efficacité du dioxyde de chlore pour la prophylaxie des symptômes de type Covid19 chez les membres de la famille vivant avec des patients atteints de COVID19.

REVUE INTERNATIONALE DE RECHERCHE ET D’ANALYSE MULTIDISCIPLINAIRE

1Manuel Aparicio-Alonso, 2Carlos A. Domínguez-Sánchez, 3Marina Banuet-Martínez

ISSN: 2643-9875

RESUME:

À ce jour, il n’existe pas d’agent prophylactique efficace pour prévenir le COVID-19. Cependant, le développement de symptômes similaires à ceux du COVID19 a pu être évité grâce à une solution aqueuse de dioxyde de chlore (ClO₂). Cette étude rétrospective a évalué l’efficacité d’une solution aqueuse de ClO₂ (CDS) en tant qu’agent prophylactique chez 1 163 membres de la famille vivant avec des patients COVID positifs/suspects19. Le traitement prophylactique consistait en une solution de dioxyde de chlore (CDS) à 0,0003 % par voie orale pendant au moins 14 jours. Les cas réussis ont été considérés comme les membres de la famille dont les antécédents médicaux ne faisaient état d’aucun développement de symptômes de type COVID19.

L’efficacité du CDS dans la prévention des symptômes de type covid19 était de 90,4 % (1 051 membres de la famille sur 1 163 n’ont signalé aucun symptôme). Les comorbidités, le sexe et la gravité de la maladie du patient malade n’ont pas contribué à l’apparition de symptômes de type covid19 (P = 0,092, P = 0,351 et P = 0,574, respectivement). Cependant, les parents plus âgés étaient plus susceptibles de développer des symptômes de type covid19 (ORa = 4,22, P = 0,002). Aucune modification des paramètres sanguins ou de l’intervalle QTc n’a été observée chez les parents ayant consommé du CDS. Les récentes découvertes sur le dioxyde de chlore justifient la conception d’essais cliniques visant à évaluer son efficacité dans la prévention de l’infection par le SRAS-CoV-2.

Etude comparative du dioxyde de chlore hyperpur avec deux autres irrigants en relation avec la viabilité des cellules souches du ligament parodontal.

URL: https://link.springer.com/article/10.1007/s00784-020-03618-5

Orsolya Láng, Krisztina S. Nagy, Julia Láng, Katalin Perczel-Kovách, Anna Herczegh, Zsolt Lohinai, Gábor Varga & László Kőhidai

Springer (ISSN: 2627-8626)

Résumé

Objectifs : Les cellules souches du ligament parodontal (PDLSC) sont d’une importance capitale car leur capacité proliférative élevée et leur différenciation multipotente offrent un potentiel thérapeutique important. L’intégrité de ces cellules est fréquemment perturbée par les composés d’irrigation couramment utilisés comme désinfectants parodontaux ou endodontiques (par exemple, le peroxyde d’hydrogène, l’eau oxygénée, etc.).[H₂O₂] et la clorhexydine[CHX]).

Nos objectifs étaient les suivants (i) contrôler l’effet cytotoxique d’un nouveau composé d’irrigation dentaire, le dioxyde de chlore (ClO₂), par rapport à deux agents traditionnels (H2O2, CHX) sur les PDLSC et (ii) évaluer l’efficacité de l’irrigation dentaire. (ii) vérifier si le facteur de vieillissement des cultures de PDLSC détermine la réactivité cellulaire aux substances chimiques testées.

Évaluations cliniques contrôlées du dioxyde de chlore, du chlorite et du chlorate chez l’homme

Perspectives en matière de santé environnementale (EHP)

J R Lubbers, S Chauan, y J R Bianchine

(ISSN: 1542-6351)

Résumé

Une étude contrôlée a été menée pour évaluer la sécurité relative des désinfectants de l’eau au chlore administrés de manière chronique chez l’homme. L’évaluation clinique s’est déroulée selon les trois phases communes aux études de médicaments expérimentaux. La phase I, une étude de tolérance à doses croissantes, a examiné les effets aigus de doses uniques progressivement croissantes de désinfectants au chlore sur des volontaires adultes masculins en bonne santé. Dans la phase II, l’impact sur des sujets normaux de l’ingestion quotidienne de désinfectants à une concentration de 5 mg/l a été étudié. pendant douze semaines consécutives.

Les personnes ayant un faible taux de glucose-6-phosphate déshydrogénase devraient être particulièrement sensibles au stress oxydatif ; c’est pourquoi, dans la phase III, le chlorite a été administré à une concentration de 5 mg/l. quotidiennement pendant douze semaines consécutives à un petit groupe de sujets présentant un déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase potentiellement à risque. L’impact physiologique a été évalué à l’aide d’une batterie de tests qualitatifs et quantitatifs. Les trois phases de cette évaluation clinique contrôlée en double aveugle du dioxyde de chlore et de ses éventuels métabolites chez des volontaires masculins se sont déroulées sans incident. Aucune séquelle clinique indésirable évidente n’a été observée par l’un des sujets participants ou par l’équipe médicale chargée de l’observation.

Dans plusieurs cas, des tendances statistiquement significatives de certains paramètres biochimiques ou physiologiques associés au traitement ont été observées ; cependant, aucune de ces tendances n’a été considérée comme ayant des conséquences physiologiques. Il n’est pas exclu que, sur une période de traitement plus longue, ces tendances puissent effectivement atteindre des proportions cliniquement significatives. Cependant, en l’absence de réactions physiologiques néfastes dans les limites de l’étude, la sécurité relative de l’ingestion orale de dioxyde de chlore et de ses métabolites, le chlorite et le chlorate, a été démontrée.

Dénaturation des protéines par le dioxyde de chlore : modification oxydative des résidus de tryptophane et de tyrosine

Biochimie ACS PUB

Norio Ogata

(ISSN :0922-3444).

Résumé

Les composés oxychlorés, tels que l’acide hypochloreux (HOCl) et le dioxyde de chlore (ClO₂), ont une puissante activité antimicrobienne. Si le mécanisme biochimique de l’activité antimicrobienne du HOCl a été largement étudié, on sait peu de choses sur celui du ClO₂. En utilisant l’albumine sérique bovine et la glucose-6-phosphate déshydrogénase de Saccharomyces cerevisiae comme protéines modèles, je démontre ici que l’activité antimicrobienne du ClO₂ est principalement attribuable à son activité de dénaturation des protéines.

Par analyse de solubilité, spectroscopie de dichroïsme circulaire, calorimétrie différentielle à balayage et mesure de l’activité enzymatique, je montre que la protéine est rapidement dénaturée par le ClO₂ avec une diminution concomitante de la concentration de ClO₂ dans le mélange réactionnel. Les spectres de dichroïsme circulaire des protéines traitées au ClO₂ montrent un changement d’ellipticité à 220 nm, indiquant une diminution du contenu α-hélique.

La calorimétrie différentielle à balayage montre que la température de transition et l’enthalpie de transition endothermique du clivage induit par la chaleur diminuent dans la protéine traitée au ClO₂. L’activité enzymatique de la glucose-6-phosphate déshydrogénase diminue jusqu’à 10 % dans les 15 s de traitement avec 10 μM ClO₂. Les analyses élémentaires montrent que dans la protéine traitée avec le ClO2 sont incorporés les atomes d’oxygène, mais pas les atomes de chlore, ce qui prouve directement que la protéine est oxydée par le ClO₂. En outre, la spectrométrie de masse et la spectroscopie de résonance magnétique nucléaire montrent que les résidus de tryptophane sont convertis en N-formylquinurénine et les résidus de tyrosine en 3,4-dihydroxyphénylalanine (DOPA) ou en 2,4,5-trihydroxyphénylalanine (TOPA) dans les protéines traitées au ClO₂.

L’ensemble de ces résultats me permet de conclure que les microbes sont inactivés par le ClO₂ en raison de la dénaturation des protéines constitutives essentielles à leur intégrité et/ou à leur fonction, et que cette dénaturation est principalement due à la modification oxydative covalente de leurs résidus de tryptophane et de tyrosine.

Les effets du dioxyde de chlore sur l’hygiène bucco-dentaire : revue systématique et méta-analyse

Autor(es): Beáta Kerémi, Katalin Márta, Kornélia Farkas, László M. Czumbel, Barbara Tóth, Zsolt Szakács, Dezső Csupor, József Czimmer, Zoltán Rumbus, Péter Révész, Adrienn Németh, Gábor Gerber, Péter Hegyi y Gábor Varga*

DOI: 10.2174/1381612826666200515134450

Résumé

Contexte : Des bains de bouche efficaces et sélectifs sont nécessaires dans la pratique médicale et dentaire quotidienne. Actuellement, les bains de bouche utilisés ont des effets secondaires importants.

Objectifs : Notre objectif était d’évaluer l’efficacité des bains de bouche contenant du dioxyde de chlore par rapport à d’autres bains de bouche précédemment établis chez des adultes en bonne santé en utilisant des indices d’hygiène bucco-dentaire.

Méthodes : Ce travail a été enregistré dans PROSPERO (CRD42018099059) et a été réalisé à l’aide de plusieurs bases de données et rapporté conformément à la déclaration PRISMA. Les termes de recherche utilisés étaient « dioxyde de chlore » ET « oral », et seuls les essais contrôlés randomisés (ECR) ont été retenus. Le résultat principal était la modification de l’indice de plaque (IP), tandis que les résultats secondaires étaient l’indice gingival (IG) et la numération bactérienne. L’outil Cochrane d’évaluation du risque de biais a été utilisé pour évaluer le risque de biais. (Cochrane Risk of Bias Tool). L’analyse statistique de l’hétérogénéité des données a été réalisée à l’aide de la valeur Q et des tests I2.

Résultats : 364 articles ont été trouvés dans les bases de données. À l’issue de la procédure de sélection, seuls cinq ECR étaient éligibles pour une méta-analyse. L’hétérogénéité des données était faible. Il n’y avait pas de différence statistique d’efficacité entre le dioxyde de chlore et les autres bains de bouche efficaces sur l’IP (0,720±0,119 vs. 0,745±0,131 ; intervalles de confiance (IC) à 95 % : 0,487-0,952 vs. 0,489-1,001, respectivement) et l’IG (0,712±0,130 vs. 0,745±0,131 ; IC à 95 % : 0,457-0,967 vs. 0,489- 1,001, respectivement) ainsi que sur les numérations bactériennes.

Conclusions : Le dioxyde de chlore réduit à la fois les indices de plaque et de gencive et les numérations bactériennes dans la cavité buccale de manière similaire à d’autres bains de bouche couramment utilisés, mais les preuves à l’appui de ce résultat sont très limitées. Il est donc nécessaire de réaliser davantage d’essais cliniques randomisés à grande échelle pour réduire le risque de biais.

Cinétique et mécanismes d’oxydation de la cystéine et du glutathion par le dioxyde de chlore et le chlorite

Inorg. Chem. ACS PUB

Ana Ison, Ihab N. Odeh, y Dale W. Margerum

(ISSN : 1044-5099)

Résumé

L’oxydation de la cystéine (CSH) par le dioxyde de chlore dans des conditions de pseudo-premier ordre (avec un excès de CSH) dans des solutions aqueuses tamponnées est étudiée, p[H+] 2,7-9,5 a 25,0 °C. Les taux de désintégration du dioxyde de chlore sont du premier ordre aux concentrations de ClO₂ et de CSH et augmentent rapidement avec l’augmentation du pH.

Le mécanisme proposé est un transfert d’électrons de CS- à ClO₂ (1,03 × 108 M-1 s-1) suivi d’une réaction rapide du radical CS- et d’un second ClO₂ pour former un adduit cystéinyl-ClO₂ (CSOClO). Cet adduit très réactif se décompose de deux manières. Dans les solutions acides, il s’hydrolyse pour donner CSO₂H (acide sulfinique) et HOCl, qui à leur tour réagissent rapidement pour former CSO3H (acide cystéique) et Cl-. Lorsque le pH augmente, l’adduit (CSOClO) réagit avec le CS- par une deuxième voie pour former de la cystine (CSSC) et l’ion chlorite (ClO₂-). La stœchiométrie de la réaction passe de 6 ClO2:5 CSH à faible pH à 2 ClO2:10 CSH à pH élevé.

L’oxydation par ClO₂ de l’anion glutathion (GS-) est également rapide avec une constante de vitesse du second ordre de 1,40 × 108 M-1 s-1. La réaction de ClO2 avec le CSSC est 7 fois plus lente que la réaction correspondante avec l’anion cystéinyle (CS-) à un pH de 6,7. L’ion chlorite réagit cependant avec le CSH, a p[H+] 6.7, la vitesse observée de cette réaction est plus lente que la réaction ClO₂/CSH de 6 ordres de grandeur. L’ion chlorite oxyde le CSH lorsqu’il est réduit en HOCl, qui à son tour réagit rapidement avec le CSH pour former du Cl-. Les produits de la réaction sont CSSC et CSO3H avec une distribution dépendant du pH similaire à celle du système ClO₂/CSH.

La région de 40-80 nt dans le 50 -NCR du génome est une cible critique pour l’inactivation du poliovirus par le dioxyde de chlore.

M E Alvarez, R T O’Brien

Journal de virologie médicale

(ISSN :1096-9071)

Résumé

Le dioxyde de chlore et l’iode inactivent le poliovirus plus efficacement à un pH de 10,0 qu’à un pH de 6,0. L’analyse par sédimentation de virus inactivés par le dioxyde de chlore et l’iode à un pH de 10,9 a montré que l’ARN viral était séparé des capsides, ce qui a entraîné la conversion des virions de structures 156S en particules 80S. Les ARN libérés par les virus inactivés par le dioxyde de chlore et les virus inactivés par l’iode ont été collés à l’ARN viral 35S intact. Le dioxyde de chlore et l’iode ont tous deux réagi avec les protéines de la capside du poliovirus et ont fait passer le pI de pH 7,0 à pH 5,8. Cependant, les mécanismes d’inactivation du poliovirus par le dioxyde de chlore et l’iode se sont révélés différents.

L’iode a inactivé les virus en diminuant leur capacité d’adsorption sur les cellules HeLa, tandis que les virus inactivés par le dioxyde de chlore ont montré une moindre incorporation de [14C]uridine dans le nouvel ARN viral. Nous avons donc conclu que le dioxyde de chlore inactivait le poliovirus en réagissant avec l’ARN viral et en réduisant la capacité du génome viral à servir de matrice pour la synthèse de l’ARN.

Cinétique et mécanisme de la désinfection bactérienne par le dioxyde de chlore

Société américaine de microbiologie

Melvin A. Benarde, W. Brewster Snow, Vincent P. Olivieri, Burton Davidson

(ISSN : 0569-7603)

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Résumé

Les données de survie sont présentées pour une souche fécale d’Escherichia coli exposée à trois concentrations de dioxyde de chlore à quatre températures. L’équation de réaction de premier ordre de Chick est généralisée à un modèle de pseudo-nième ordre. L’ajustement non linéaire des moindres carrés des données de survie au modèle d’ordre n’a été réalisé sur un ordinateur analogique.

On a constaté que les données suivaient une cinétique d’ordre fractionnaire en ce qui concerne la concentration de survie, avec une énergie d’activation apparente de 12 000 cal/mol. Les premières expériences confirment la thèse selon laquelle le mécanisme de la mort par le dioxyde de chlore est une perturbation de la synthèse des protéines.

Étude sur la résistance des coronavirus associés au syndrome respiratoire aigu sévère

Elsevier

(ISSN :0922-3444)

Xin-Wei Wang a, Jin-Song Li b, Min Jin a, Bei Zhen b, Qing-Xin Kong a, Nong Song a, Wen-Jun Xiao b, Jing Yin a, Wei Wei b, Gui-Jie Wang b, Bing-yin Si b, Bao-Zhong Guo b, Chao Liu c, Guo-Rong Ou a, Min-Nian Wang b, Tong-Yu Fang d, Fu-Huan Chao a, Jun-Wen Li

Résumé

Dans cette étude, la persistance du coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV) a été observée dans les fèces, l’urine et l’eau. En outre, l’inactivation du SARS-CoV dans les eaux usées à l’aide d’hypochlorite de sodium et de dioxyde de chlore a également été étudiée. Des expériences in vitro ont montré que le virus ne pouvait persister que pendant 2 jours dans les eaux usées hospitalières, les eaux usées domestiques et l’eau du robinet déchlorée, tandis qu’il persistait 3 jours dans les fèces, 14 jours dans le PBS et 17 jours dans l’urine à 20 °C. Toutefois, à 4 °C, le SARS-CoV peut persister pendant 14 jours dans les eaux usées et au moins 17 jours dans les fèces ou l’urine.

Le SARS-CoV est plus sensible aux désinfectants qu’Escherichia coli et le phage f2. On a constaté que le chlore libre inactive mieux le SARS-CoV que le dioxyde de chlore. Un résidu de chlore libre supérieur à 0,5 mg/L pour le chlore ou à 2,19 mg/L pour le dioxyde de chlore dans les eaux usées garantit l’inactivation complète du SARS-CoV, mais n’inactive pas complètement E. coli et le phage f2.

Effet protecteur du dioxyde de chlore à faible concentration

Journal de virologie générale

Norio Ogata1, Takashi Shibata1

(ISSN :1465-2099)

RESUME

L’infection par le virus de la grippe est une cause majeure de morbidité et de mortalité chez l’homme. Chez l’homme, ce virus se propage principalement par les aérosols excrétés par le système respiratoire. Les moyens actuels de prévention de l’infection par le virus de la grippe ne sont pas entièrement satisfaisants en raison de leur efficacité limitée. Des mesures préventives sûres et efficaces contre la grippe pandémique sont nécessaires.

Nous avons démontré que l’infection de souris induite par le virus de la grippe A en aérosol était empêchée par le dioxyde de chlore gazeux (ClO₂) à une concentration extrêmement faible (inférieure au niveau d’exposition à long terme autorisé pour les humains, c’est-à-dire 0,1 p.p.m.). Des souris placées dans des cages semi-fermées ont été exposées à des aérosols de virus de la grippe A (1 DL50) et de gaz ClO₂ (0,03 p.p.m.) simultanément pendant 15 minutes.

Trois jours après l’exposition, le titre pulmonaire du virus (TCID50) était de 102,6±1,5 chez cinq souris traitées au ClO₂, alors qu’il était de 106,7±0,2 chez cinq souris non traitées (P=0,003). La mortalité cumulée après 16 jours était de 0/10 souris traitées avec ClO₂ et de 7/10 souris non traitées (P=0,002). Dans des expériences in vitro, le ClO₂ a dénaturé les protéines de l’enveloppe virale (hémagglutinine et neuraminidase) qui sont indispensables à l’infectivité du virus, et a aboli l’infectivité.

Dans l’ensemble, nous concluons que le gaz ClO₂ est efficace pour prévenir l’infection par le virus de la grippe induite par les aérosols chez les souris en dénaturant les protéines de l’enveloppe virale à une concentration bien inférieure au niveau d’exposition autorisé pour l’homme. Par conséquent, le gaz ClO₂ pourrait être utile comme moyen préventif contre la grippe dans les lieux d’activité humaine sans nécessité d’évacuation.

L’irrigation nasale au dioxyde de chlore peut-elle être considérée comme une alternative thérapeutique possible pour les maladies infectieuses respiratoires ? L’exemple du COVID-19

Tendances dans les biosciences

Jing Cao, Yirong Shi, Min Wen, Yuanyuan Peng, Qiqi Miao, Xiaoning Liu, Mingbin Zheng, Tetsuya Asakawa, Hongzhou Lu

https://doi.org/10.5582/bst.2022.01495

Résumé

Le dioxyde de chlore (ClO₂) est un désinfectant de haut niveau sûr et largement utilisé pour la stérilisation. En raison des limites de la préparation d’une solution stable, l’utilisation directe de ClO₂ dans le corps humain est limitée. L’irrigation nasale est une thérapie alternative utilisée pour traiter les maladies infectieuses respiratoires. Cette étude résume brièvement les données disponibles concernant la sécurité et l’efficacité de l’utilisation directe de ClO₂ dans le corps humain, ainsi que l’approche de l’irrigation nasale pour traiter le COVID-19.

Sur la base des informations disponibles, ainsi que d’une expérience préliminaire qui a évalué de manière exhaustive l’efficacité et la sécurité du ClO₂, 25-50 ppm ont été considérés comme une concentration appropriée de ClO₂ pour l’irrigation nasale dans le cadre du traitement du COVID-19. Cette constatation doit être vérifiée de manière plus approfondie. Cette constatation doit être vérifiée de manière plus approfondie. L’irrigation nasale avec ClO₂ peut être considérée comme une thérapie alternative possible pour traiter les maladies infectieuses respiratoires, et COVID-19 en particulier.

Prévention des infections et réparation des tissus dans les lésions cutanées par des traitements à base de solution de dioxyde de chlore : études de cas

Littérature Éditeurs

Aparicio-Alonso M

Résumé

La régénération optimale des lésions cutanées doit assurer une protection contre les infections opportunistes qui peuvent entraver le processus de guérison ou augmenter le risque d’infection. L’utilisation d’antibiotiques pour prévenir l’infection peut, dans certains cas, interférer avec la régénération des tissus et échoue souvent en raison de souches bactériennes résistantes. Il est donc nécessaire d’élargir l’arsenal des options thérapeutiques sûres et efficaces disponibles.


Nous documentons ici la prévention de l’infection et la réparation des tissus dans les lésions cutanées par des traitements basés sur une solution de dioxyde de chlore. Nous avons documenté quatre rapports de cas, dont une brûlure abdominale due à un agent chimique, une brûlure palpébrale due à une chaleur extrême, une ulcération d’une extrémité due à une insuffisance vasculaire et un mélanome du cuir chevelu. Toutes les lésions ont été traitées par voie topique avec une solution de dioxyde de chlore, et par voie systémique si nécessaire, conformément aux protocoles précédemment proposés.

Les quatre patients ont présenté une régénération dermique complète avec des résultats esthétiques, sans effets secondaires ni preuves d’effets indésirables ou d’interactions avec les traitements concomitants utilisés. Les résultats prouvent qu’une solution topique ou systémique de dioxyde de chlore est sûre en tant que traitement antiseptique dans la résolution adéquate et rapide des lésions cutanées.

La toxicité de la protéine de pointe du COVID-19 est un phénomène de changement redox: Une nouvelle approche thérapeutique

Elservier

Laurent Schwartz a, Manuel Aparicio-Alonso b, Marc Henry c, Miroslav Radman d, Romain Attal e, Ashraf Bakkar f

https://doi.org/10.1016/j.freeradbiomed.2023.05.034

Résumé

Nous avons montré précédemment que la plupart des maladies présentent une forme d’anabolisme en raison d’une perturbation mitochondriale: dans le cas du cancer, une cellule fille est formée; dans le cas de la maladie d’Alzheimer, les plaques amyloïdes; dans l’inflammation, les cytokines et les lymphokines.

L’infection par le Covid-19 suit un schéma similaire. Les effets à long terme comprennent le changement de l’oxydoréduction et un anabolisme cellulaire résultant de l’action de l’effet Warburg et le dysfonctionnement mitochondrial. Cet anabolisme incessant conduit à la tempête de cytokines, la fatigue chronique, l’inflammation chronique ou les maladies neurodégénératives. Il a été démontré que des médicaments tels que l’acide lipoïque et lebleu de méthylène améliorent l’activité mitochondriale, atténuent l’effet Warburg et augmentent le catabolisme. De même, la combinaison du bleu de méthylène, du dioxyde de chlore et l’acide lipoïque peuvent contribuer à réduire les effets à long terme de Covid-19 en stimulant le catabolisme.

Aperçu graphique

Le dioxyde de chlore est un agent antiviral plus puissant contre le SRAS-CoV-2 que l’hypochlorite de sodium.

Elservier

N. Hatanaka , B. Xu , M. Yasugi , H. Morino , H. Tagishi , T. Miura , T. Shibata , S. Yamasaki

Résumé

Antécédents

Un nouveau coronavirus (SARS-CoV-2) est apparu brusquement à Wuhan, en Chine, en 2019 et s’est rapidement propagé dans le monde entier pour provoquer la pandémie de COVID-19.

Objectif

Examiner l’activité anti-SARS-CoV-2 du puissant désinfectant Cleverin, dont le principal composant désinfectant est le dioxyde de chlore (ClO2), et comparer les résultats avec ceux de l’hypochlorite de sodium en présence ou en l’absence de 0,5 % ou 1,0 % de sérum bovin fœtal (FBS).

Méthodes

Des virus SARS-CoV-2 concentrés ont été traités avec différentes concentrations de ClO₂ et d’hypochlorite de sodium et la dose infectieuse de 50 % dans la culture de tissus a été calculée pour évaluer l’activité antivirale de chaque produit chimique.

Résultats

Lorsque les virus SARS-CoV-2 ont été traités avec 0,8 ppm de ClO₂ ou d’hypochlorite de sodium, la charge virale a diminué de seulement 1 log10 TCID50/mL en l’espace de 3 minutes. Cependant, la charge virale a diminué de plus de 4 log10 TCID50/mL lorsqu’il a été traité avec 80 ppm de chaque produit chimique pendant 10 s, indépendamment de la présence ou de l’absence de FBS. Notamment, le traitement avec 24 ppm de ClO₂ a inactivé plus de 99,99 % du SARS-CoV-2 en 10 s ou 99,99 % du SARS-CoV-2 en 1 min en présence de 0,5 % ou 1,0 % de FBS, respectivement. En revanche, l’hypochlorite de sodium à 24 ppm n’a inactivé que 99 % ou 90 % du SARS-CoV-2 en 3 minutes dans des conditions similaires. En particulier, à l’exception du ClO₂, les autres composants de Cleverin, tels que le chlorite de sodium, le monolaurate de décaglycérol et le silicone, n’ont pas montré d’activité antivirale significative.

Conclusion

Dans l’ensemble, les résultats suggèrent clairement que, bien que le ClO₂ et l’hypochlorite de sodium soient des agents antiviraux puissants en l’absence de matières organiques, en présence de matières organiques, le ClO₂ est un agent antiviral plus puissant contre le SARS-CoV-2 que l’hypochlorite de sodium.

Auteur:
  • George Georgiou
Titre de l’étude:
  • Eradication de Borrelia burgdorferi in vitro à l’aide de dioxyde de chlore: une nouvelle approche
Source:
  • Archives de la recherche médicale, [en línea] 10(11)
DOI: Résumé de l’étude: Résumé:
  • La maladie de Lyme, causée par le spirochète Borrelia burgdorferi, est la maladie transmise par les tiques la plus répandue dans le monde aujourd’hui et est devenue un problème majeur de santé publique au cours de la dernière décennie, malgré des décennies d’efforts de la part de divers professionnels de la santé. Le traitement conventionnel de la maladie de Lyme consiste en l’utilisation de divers antibiotiques, mais des rechutes se produisent souvent à l’arrêt des antibiotiques. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette rechute, car B. burgdorferi est un micro-organisme pléomorphe qui peut passer d’un spirochète végétatif à une variété de corps ronds et de colonies de biofilms. Il est donc urgent de trouver de nouvelles approches permettant d’éliminer ces différentes morphologies. Cela a été un défi pour de nombreux professionnels de la santé dans le monde entier, sans parler de la souffrance des nombreuses personnes touchées.
  • Dans cette étude, l’efficacité in vitro du dioxyde de chlore (CD) à différentes concentrations contre B. burgdorferi a été testée à l’aide de la microscopie à fluorescence et à fond noir combinée à des méthodes de coloration Live-or-Dye. Nos expériences ont démontré qu’il est possible d’éradiquer complètement toutes les formes de B. burgdorferi à des concentrations spécifiques de dioxyde de chlore. Nos recherches approfondies ont montré que le dioxyde de chlore peut être utilisé pour l’éradication des morphologies de B. burgdorferi. À certaines concentrations de dioxyde de chlore supérieures à 2 ppm, les morphologies de Borrelia semblent être éradiquées, car il n’y a pas de motilité des spirochètes ou des corps ronds, seuls les biofilms sont visibles. Cependant, lors d’une nouvelle incubation de 7 jours, les Borrelia sont redevenues mobiles lorsqu’elles ont émergé des biofilms. Nous avons donc décidé de mener chaque expérience avec ce que nous appelons le Regrowth Kill Test (RKT) en incubant l’échantillon initial avec le CD dans un incubateur à 37 degrés Celsius dans le Campypack pendant 7 jours. Il est apparu que les biofilms qui se forment rapidement dès l’ajout de CD dans l’expérience initiale se brisent et libèrent de petits spirochètes et des corps ronds de morphologies différentes. Après de nombreuses expériences de RKT, il a été déterminé que la concentration qui produisait une désinfection presque complète des spirochètes et des corps ronds était de 30 ppm de CD.
Auteurs: Jia Wei Yeap, Simran Kaur, Fangfei Lou, Erin DiCaprio, Mark Morgan, Richard Linton, Jianrong Li Détails de la publication:
  • Titre de l’étude: Inactivation du norovirus murin sur une surface en acier inoxydable par le dioxyde de chlore gazeux
  • DOI: https://doi.org/10.1128/AEM.02489-15
  • Magazine: Microbiologie appliquée et environnementale, Vol. 82, No. 1
  • Année de publication: Non spécifié dans les informations fournies
Résumé de l’étude: Cette étude porte sur l’inactivation du norovirus murin 1 (MNV-1), un substitut du norovirus humain, sur des surfaces en acier inoxydable (SS) à l’aide de dioxyde de chlore gazeux (ClO₂). Les principales conclusions sont les suivantes:
  • La gastro-entérite aiguë causée par le norovirus humain est un problème majeur de santé publique, en particulier dans les aliments à haut risque tels que les produits frais et les fruits de mer.
  • Les surfaces en contact avec les aliments peuvent également abriter des norovirus si elles sont exposées à une contamination fécale, à des vomissures en aérosol ou à des manipulateurs d’aliments infectés.
  • Le dioxyde de chlore gazeux (ClO₂) est utilisé comme agent de décontamination dans les usines de transformation des aliments en raison de sa forte capacité d’oxydation.
  • Le but de cette étude était de déterminer la cinétique et le mécanisme d’inactivation du MNV-1 sur des coupons d’acier inoxydable par le gaz ClO₂.
  • Le MNV-1 a été inoculé sur des coupons en acier inoxydable et les échantillons ont été traités avec du gaz ClO₂ à différentes concentrations et à différents moments.
  • Le traitement au gaz ClO₂ à 2 mg/litre pendant 5 minutes et à 2,5 mg/litre pendant 2 minutes a entraîné une réduction d’au moins 3 log du MNV-1.
  • À une concentration de 4 mg/litre, aucun virus infectieux n’a été récupéré, même après une minute de traitement.
  • Le mécanisme d’inactivation par le gaz ClO₂ comprenait la dégradation de la protéine virale, l’altération de la structure virale et la dégradation de l’ARN génomique viral.
En résumé, le traitement au gaz ClO₂ est considéré comme une méthode efficace pour inactiver un substitut de norovirus humain sur des surfaces en acier inoxydable.

Auteurs:

  • Orsolya Láng
  • Krisztina S. Nagy
  • Julia Láng
  • Katalin Perczel-Kovách
  • Anna Herczegh
  • Zsolt Lohinai
  • Gábor Varga
  • László Kőhidai

Fechas Clave:

  • Recibido: 16 de junio de 2020
  • Aceptado: 1 de octubre de 2020

DOI:

Résumé de l’étude: Objectifs:

  • Les cellules souches du ligament parodontal (PDLSC) sont d’une grande importance car leur capacité de prolifération élevée et leur différenciation multipotente offrent un potentiel thérapeutique important.
  • L’intégrité de ces cellules est fréquemment perturbée par les composés d’irrigation couramment utilisés comme désinfectants parodontaux ou endodontiques (par exemple, le peroxyde d’hydrogène, l’eau oxygénée, etc.) [H₂O₂] et la chlorhexidine[CHX]).
  • Nos objectifs étaient les suivants (i) contrôler l’effet cytotoxique d’un nouveau composé d’irrigation dentaire, le dioxyde de chlore (ClO₂), par rapport à deux agents traditionnels (H₂O₂, CHX) sur les PDLSC et (ii) vérifier si le facteur de vieillissement des cultures de PDLSC détermine la réactivité cellulaire aux substances chimiques testées.

Méthodes:

  • L’impédimétrie (étude concentration-réponse), les essais WST-1 (WST = sel de tétrazolium soluble dans l’eau) et l’analyse morphologique ont été réalisés pour mesurer les changements de viabilité cellulaire induits par les 3 désinfectants.
  • L’immunocytochimie des marqueurs de cellules souches (STRO-1, CD90 et CD105) a permis de mesurer les caractéristiques mésenchymateuses induites.

Résultats:

  • Les expériences de viabilité cellulaire ont montré que l’application de ClO₂ n’entraîne pas de diminution significative de la viabilité des PDLSC aux concentrations utilisées pour tuer les microbes.
  • En revanche, les irrigants traditionnels, H₂O₂ et CHX, sont hautement toxiques pour les PDLSC.
  • Le vieillissement des cultures de PDLSC (passages 3 vs. 7) a des effets caractéristiques sur leur réactivité à ces agents, car l’expression accrue des marqueurs de cellules souches mésenchymateuses diminue.

Conclusions et pertinence clinique:

  • Alors que les ingrédients actifs des bains de bouche (H₂O₂, CHX) appliqués dans le traitement de l’endodontie ou de la parodontite ont un effet toxique grave sur les PDLSC, le nouveau ClO₂ hyperpur est moins toxique, fournissant un environnement qui favorise la régénération des structures dentaires pendant les interventions de désinfection.

Manuel Aparicio-Alonso
Centre Médical Jurica, Direction médicale et responsabilité des soins de santé, Querétaro, Mexique

Lien: https://orcid.org/0000-0002-0188-9871
Verónica Torres-Solórzano
Université autonome de Querétaro, Unité de microbiologie fondamentale et appliquée. Querétaro, Mexique.

DOI: https://doi.org/10.56294/saludcyt2024699


Résumé:


Le dioxyde de chlore est un agent oxydant puissant et abordable qui a démontré une activité anticancéreuse à la fois in vitro et in vivo. Le mécanisme proposé est lié à la libération de radicaux libres, qui perturbent l’équilibre oxydatif délicat des cellules cancéreuses. Dans ce cas clinique, un patient a volontairement choisi la thérapie compassionnelle au dioxyde de chlore plutôt que la chimiothérapie et l’immunothérapie conventionnelles en raison des effets secondaires et de l’incertitude quant au pronostic de survie. La concentration de la solution de dioxyde de chlore était 1/100 fois inférieure au seuil LOAEL, ce qui a permis de ne pas compromettre la santé du patient. Il s’agit du premier suivi d’un patient atteint d’un cancer de la prostate métastatique, qui a montré une diminution de la tumeur sur des sites éloignés de la tumeur primaire sans effets secondaires. Cette observation préliminaire suggère que le dioxyde de chlore et ses radicaux libres peuvent être des médiateurs potentiels d’une réponse anticancéreuse. Cependant, il est impératif de souligner l’importance de mener des essais cliniques rigoureux pour valider ces premiers résultats.

Résumé:
Le dioxyde de chlore (ClO₂ ) est largement utilisé comme désinfectant de l’eau potable dans de nombreux pays. En raison de ses capacités antibiotiques et antivirales, il a suscité l’intérêt en tant qu’agent thérapeutique potentiel pour la maladie COVID-19, le SIDA et la grippe. Suite à cette discussion dans les milieux scientifiques et gouvernementaux, il a été jugé opportun de fournir une évaluation actualisée de la pharmacocinétique et de la pharmacodynamique du ClO₂ . Les principaux résultats indiquent qu’en raison de sa forte réactivité chimique, le ClO2 est rapidement réduit dans les sécrétions orales et gastriques, produisant l’ion chlorite (ClO₂ -) qui devient l’agent actif responsable de ses actions systémiques. ClO₂ a également montré un potentiel d’oxydation ou d’antioxydation en fonction de la concentration. Les découvertes selon lesquelles, à de faibles concentrations, le ClO₂ – peut protéger les érythrocytes du stress oxydatif tout en inhibant la production excessive d’acide hypochloreux (HClO) par la myéloperoxydase (MPO) permet d’inverser les réponses inflammatoires et l’activation des macrophages. Enfin, la taurine-chloramine représente le produit fonctionnel le plus pertinent formé sous l’influence de ClO₂ – , cette molécule active le facteur nucléaire érythroïde 2 (Nrf2), (ce facteur de transcription régule l’expression inductible de nombreux gènes d’enzymes détoxifiantes et antioxydantes), augmente l’expression de l’hèmo-oxygénase (HO-1), protège les cellules de la mort causée par le peroxyde d’hydrogène (H₂O₂), renforce l’expression et l’activité des enzymes antioxydantes telles que la superoxyde dismutase, la catalase et la glutathion peroxydase, et contribue à la résolution du processus inflammatoire.

Au début des années 1920, Otto Warburg a mis en évidence une caractéristique unique des cellules cancéreuses, à savoir l’augmentation de l’absorption de glucose et de la sécrétion d’acide lactique par les cellules cancéreuses, même en présence d’oxygène (par exemple le phénotype glycolytique aérobie) 1,2 . Cette fermentation aérobie est la signature du cancer 3 . Warburg a également constaté une diminution concomitante du nombre de mitochondries (grana),sup>4. Dans les cellules normales et différenciées, le rendement d’une molécule de glucose est de 34 ATP. L’ATP provient principalement de la phosphorylation oxydative qui a lieu dans les mitochondries 5,6 . En l’absence de mitochondries, le rendement énergétique tombe à deux molécules d’ATP par molécule de glucose 5,6 . Comme l’a indiqué Warburg dans les années 1920, les cellules cancéreuses présentent une diminution de l’efficacité des mitochondries, ce qui se traduit par une baisse des performances. Malgré une absorption accrue de glucose, les cellules cancéreuses du côlon humain présentent une baisse de 50 % du niveau d’ATP par rapport aux cellules bénignes adjacentes 7 . Cette diminution de l’ATP est une conséquence de l’altération de la phosphorylation oxydative 6–9 .

Pour compenser la diminution de la production d’énergie, la cellule augmente son absorption de glucose 7,10 . La diminution de l’activité mitochondriale a de nombreuses conséquences, dont une augmentation de la sécrétion d’acide lactique et l’activation de la voie des pentoses phosphates (PPP). Une autre conséquence est l’activation de la glutaminolyse, nécessaire à la synthèse des acides nucléiques 6–9 .

L’activation de la voie des pentoses phosphates résulte d’une augmentation de l’absorption du glucose avec une entrave concomitante en aval du shunt des pentoses phosphates, très probablement au niveau de la pyruvate déshydrogénase et/ou de la pyruvate kinase 2,6,11 . Il en résulte une augmentation du flux dans la voie des pentoses phosphates:

– Une évolution vers l’anabolisme due à une synthèse accrue de NADPH qui joue un rôle crucial dans le rapport NADPH/NADP+ qui détermine l’état d’oxydoréduction de la cellule en piégeant les espèces réactives de l’oxygène (ROS) et ainsi empêche la mort cellulaire et contrôle le destin de la cellule 7,11 .

– Le passage à la voie des pentoses entraîne également la production de ribose-5-phosphate, nécessaire à la synthèse des acides nucléiques 5 .

Une autre conséquence importante de l’anomalie mitochondriale est l’alcalose intracellulaire 7 . Les tumeurs présentent un gradient de pH « inversé » avec un pH intracellulaire augmenté de manière constitutive et supérieur au pH extracellulaire. Ce gradient permet la progression du cancer en favorisant la prolifération, l’évasion de l’apoptose, l’adaptation métabolique, la migration et l’invasion 12–15 .

Il est prouvé que le pH extracellulaire acide favorise l’invasivité et le comportement métastatique dans plusieurs modèles de tumeurs 14,16, l’activation des enzymes protéolytiques et la destruction de la matrice 17–19 .

Dans les cellules normales, le pH intracellulaire (pHi) oscille au cours du cycle cellulaire entre 6,8 et 7,3 7 . L’oscillation du pH au cours du cycle cellulaire coïncide avec la valeur de décompactage des histones, l’activation de l’ADN polymérase et le compactage de l’ADN avant la mitose 7,11 .

Le pH intracellulaire des cellules cancéreuses a été moins étudié. Au cours du cycle cellulaire, elle se situe entre 7,2 et 7,5. L’alcalose intracellulaire est probablement la conséquence d’une diminution de la phosphorylation oxydative entraînant une diminution de la sécrétion de dioxyde de carbone (CO 2 ) et le CO 2 réagit avec l’eau pour créer de l’acide carbonique. La transformation cellulaire ou l’amélioration de la division des cellules cancéreuses et la résistance à la chimiothérapie sont associées à un pHi plus alcalin 20–23 .

L’effet Warburg peut être une conséquence directe de l’activation des oncogènes 6. L’infection par un virus oncogène ou l’exposition à un agent cancérigène inhibe la fonction mitochondriale et provoque l’effet Warburg 24–29 .

Télécharger: https://www.researchgate.net/publication/321315675_Chlorine_dioxide_as_a_possible_adjunct_to_metabolic_treatment

Résumé:

Les infections résistantes aux antimicrobiens (AMR) font au moins 50 000 victimes par an rien qu’en Europe et aux États-Unis.
chaque année en Europe et aux États-Unis, et des centaines de milliers d’autres dans d’autres parties du monde. du monde. Dans 15 pays européens, plus de 10 % des infections à Staphylococcus aureus sont causées par des souches résistantes à la méthicilline (SARM), et dans plusieurs de ces pays les taux de résistance sont proches de 50 %. les pays enregistrent des taux de résistance proches de 50 %.1 En outre, alors que le nombre d’infections résistantes aux antibiotiques augmente, le nombre de nouveaux antibiotiques diminue.1,2 Il est donc impératif de développer de nouveaux traitements pour les infections résistantes aux antibiotiques. Il est donc impératif de rechercher de nouveaux traitements contre la RAM.

C’est le principe de cette recherche : utiliser des substances naturelles pour éradiquer le SARM sans créer de nouvelles résistances.

Le dioxyde de chlore, utilisé in vitro, a été le principal objet de cette recherche, car il s’est avéré le plus efficace par rapport aux autres substances naturelles testées. efficace par rapport à d’autres substances naturelles éprouvées.

Lien: https://medcraveonline.com/JBMOA/JBMOA-09-00306.pdf

Résumé:

Origine du contenu

Entité ou agence

Coordination générale des études supérieures, UNAM

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TESIUNAM

Référentiel

Contact

Direction générale des bibliothèques, UNAM en http://www.dgb.unam.mx/index.php/qui-nous-sommes/questions-et-commentaires

Cita

Mancera Andrade, Jose. (2014). « Effet du dioxyde de chlore sur la prévention de la formation d’adhérences en chirurgie pelvienne ». (Mémoire de spécialisation). Université nationale autonome de Mexico, Mexique. Récupéré de https://repositorio.unam.mx/contenidos/380887

Description de la ressource

Auteur(s)

Mancera Andrade, Jose

Collaborateur(s)

Correa Rovelo, José Manuel, asesor; Villanueva López, Guadalupe Cleva, asesor; Morales Hernandez, Sara asesor

Type

Travail de spécialisation

Titre

Effet du dioxyde de chlore sur la prévention de la formation d’adhérences en chirurgie pelvienne

Lien: https://repositorio.unam.mx/contenidos/efecto-del-dioxido-de-cloro-en-la-prevencion-de-la-formacion-de-adherencias-en-cirugia-pelvica-380887?c=4AXAad&d=false&q=*:*&i=1&v=1&t=search_0&as=0

Objectif: Évaluer l’efficacité clinique et microbiologique du dioxyde de chlore (ClO2) en tant qu’antiseptique topique pour le traitement de la candidose atrophique chronique chez les patients gériatriques.

Les participants: Trente patients atteints de candidose atrophique chronique.

Méthodes: Les patients ont reçu pour instruction de se rincer la bouche avec un bain de bouche à 0,8 % de ClO₂ (DioxiDent) deux fois par jour pendant une minute et de faire tremper leur prothèse dentaire dans du ClO₂ pendant la nuit, et ce pendant 10 jours. Les patients ont fait l’objet d’une évaluation clinique et microbiologique au départ et après 10 jours, et tout effet secondaire significatif a été enregistré. L’aspect clinique des tissus mous buccaux a été évalué sur une échelle de 0 à 3 (0 indique l’absence de signes cliniques, 1 indique une atteinte de <25 % de la muqueuse palatine, 2 indiquant une atteinte de 25 à 50 % de la muqueuse palatine et 3 indiquant un érythème marqué impliquant > 50 % de la muqueuse palatine). Des tests microbiologiques ont été effectués pour déterminer le nombre d’unités formant des colonies (UFC) de Candida albicans.

Résultats: ClO₂ a amélioré de manière significative l’apparence clinique et les numérations microbiennes (p < 0,001) après le traitement, sans effets secondaires significatifs. Les résultats ont montré une nette amélioration de l’aspect clinique des tissus après 10 jours, avec une résolution complète dans la plupart des cas. Le nombre total d’UFC/ml variait de 15 000 à 53 000 au début de l’étude et diminuait ensuite a < o = 500 après 10 jours de traitement (p < 0,001). Le score clinique moyen était de 2,50 au départ et a diminué à 0,17 après 10 jours de traitement (p < 0,001).

Conclusions: Dans les limites de cette étude pilote, l’efficacité du dioxyde de chlore topique (0,8 %) dans le traitement de la candidose atrophique chronique a été démontrée. ClO₂ a constitué une option sûre et cliniquement efficace dans le traitement de la candidose atrophique chronique.

Lien: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15218896/