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Protocoles Kalcker
___ DISCLAIMER :
Les protocoles présentés ici sont généraux et basés sur des expériences réelles acquises par des utilisateurs et des bénévoles, mais ne constituent pas un avis médical. Chaque personne est responsable de son propre corps et doit savoir ce qui lui convient le mieux lorsqu’il s’agit de diminuer ou d’augmenter les doses. L’utilisation des protocoles relève de la responsabilité personnelle de l’utilisateur. En cas d’effets indésirables graves, le dosage doit être réduite ou interrompu.
Aujourd’hui, nous n’utilisons plus le CD (MMS), car il est devenu obsolète au fil du temps. Son utilisation peut entraîner des effets indésirables tels que des diarrhées ou des vomissements, car il a un pH plus acide et contient du chlorite de sodium qui peut provoquer des réactions secondaires au niveau de l’estomac. Le CDS (solution de dioxyde de chlore = ClO2), quant à lui, ne contient qu’un seul composant, à savoir un gaz dissout dans l’eau, dont le pH est neutre et sans sel de chlorite. C’est pour toutes ces raisons, mais pas uniquement, les protocoles ont été mis à jour, en s’appuyant sur des centaines de milliers de témoignages et de rapports d’utilisateurs volontaires; tout cela une période de plus de 10 ans.
Je remercie toutes celles et ceux qui ont contribué à sauver des vies dans le but de créer un monde meilleur !
___ Information générale:
Comment fabriquer facilement du CDS :
Note : 250 ml – 300 ml d’eau sont utilisés dans un récipient de 500 ml pour obtenir le concentré de CDS.
En termes simples, la CDS fonctionne par « choc électrique » et non par intoxication cellulaire.
Pour la désinfection de l’eau potable, on utilise 0,5 à 1 ml de CDS à 3000 ppm par litre d’eau en fonction du degré de contamination. Les millilitres sont toujours utilisés car les gouttes ne sont pas précises.
Pour l’usage oral, diluez toujours (dans l’eau) le concentré CDS (3000 ppm = 0,3 %). Le gaz se conserve de préférence au réfrigérateur, car il s’évapore à 11°C s’il se trouve dans une bouteille ouverte. Il est sensible à la lumière du soleil ou à la lumière ultraviolette. Dans une bouteille en verre brun foncé fermée hermétiquement, il ne s’évapore pas et peut être transporté à des températures normales sans trop de détérioration. Ne jamais utiliser un récipient ou un couvercle métallique. En termes simples, la CDS fonctionne par « choc électrique » et non par intoxication cellulaire.
Le CDS se diffuse entièrement dans l’estomac en raison de la température de 36,5оC (selon la première loi de Fick) et pénètre dans la circulation sanguine, où il est décomposé par des agents pathogènes ou d’autres acides inflammatoires en présence d’oxygène, laissant moins de résidus qu’un cristallite de sel. Il ne laisse aucun résidu nocif dans l’organisme. Des tests sur des souris de laboratoire ont démontré une longévité supérieure de 30% à la moyenne habituelle, chez les animaux qui ont en pris tout au long de leur vie.
Le CDS est également utilisé comme désinfectant, tout comme les boissons alcoolisées. Les deux peuvent être consommés en quantités et concentrations adéquates, car « c’est la quantité qui fait la toxicité ». Selon les données de l’EPA (Agence américaine de protection de l’environnement), la toxicité du CDS s’élève à 292 mg/kg. En d’autres termes, une personne adulte de 70 kg devrait consommer plus de 7 litres de concentré de CDS par jour pendant 14 jours pour objectiver une toxicité. Cette quantité est juste humainement impossible à ingérer.
Il est important de souligner que le CDS ne contient pas de sel de chlorite de sodium (NaClO2). Il s’agit d’un gaz dissout dans de l’eau, différent du dioxyde de chlore produit par le mélange de deux composants (connu sous le nom de MMS) pouvant provoquer des réactions secondaires tels que des vomissements ou des diarrhées, lorsqu’il est utilisé à fortes doses.
A cours de ces 16 dernières années, aucune interaction avec d’autres médicaments n’a pu être observée, lorsqu’il est ingéré en respectant une intervalle de 60 minutes. Ceci s’explique par le fait que les médicaments n’inter-agissent en principe pas avec l’oxygène et le sel, en abondance dans l’organisme.
La gazométrie veineuse a quantifié une augmentation de 30% d’oxygène dans le sang lors d’une prise orale et jusqu’à 50% lors d’une prise intraveineuse. Cette augmentation dure environ 2 heures. En outre, ont été observées par rapport à l’utilisation de médicaments conventionnels, une réduction des acides (LAC) et une amélioration des valeurs hépatiques rénales (CREA). Il est à souligner que le CDS ne peut provoquer aucune brûlure chimique, en raison de son pH neutre. Toutefois, à des concentrations élevées, il a la capacité d’oxyder les couleurs naturelles du tissu, au même titre que l’eau oxygénée.
Aucune contre-indication pour les femmes enceintes ou allaitantes n’a été rapportée dans la littérature scientifique ou au cours des 16 années d’utilisation. À ce jour, de nombreux rapports positifs ont été publiés sur sa biocompatibilité.
Contre-indication : Éviter d’inhaler massivement ! Les inhalations ne doivent jamais être pratiquées; ceci par mesure de sécurité (sauf par des médecins expérimentés et dans les hôpitaux). Toutefois, le concentré de CDS peut être appliqué directement sur la peau, sous forme de spray. Les pansements occlusifs avec du concentré pur doivent être proscrits, afin d’éviter toute irritation.
Interactions connues : le CDS réagit avec les antioxydants, telle que la vitamine C (synthétique) et perd son efficacité. La prise simultanée d’antioxydants doit donc être évitée. Lors de consommation de légumes ou d’autres aliments, aucun problème n’a été signalés lorsqu’ils ont été ingérés en respectant une intervalle d’une demi-heure pour la prise.
Effets indésirables : aucun effet indésirable grave n’a été retenu, ni durant les nombreuses années d’utilisation ni dans le cadre de 3 essais cliniques évalués par des pairs, portant sur plus de 3500 patients, [Aparicio et al, Insignares et al, et al], de même que dans des milliers de rapports médicaux cliniques indépendants. Il n’y a pas non plus d’effets indésirables au niveau hépatique, rénal et QT. Ils se sont même améliorés par la suite. Las supuestas muertes han resultado ser falsas tras el examen de los patólogos.
Effets secondaires : selon les études actuelles, seuls 6 % des patients ont ressenti des effets secondaires légers. Celles-ci sont considérées comme des crises de guérison transitoires (Herxheimer) et sont très faibles. La crise de guérison est plus importante chez les personnes prenant de nombreux médicaments (polymédication, empoisonnement aux métaux lourds et/ou aux parasites) et est en principe dûe à l’accumulation de toxines. Dans certains cas, il est possible d’observer une augmentation de la miction, de la fatigue, une sécheresse de la bouche -en cas de dosage élevé-, de légers maux de tête, une légère augmentation de la sécrétion du mucus, du reflux gastrique et une augmentation temporaire des flatulences. Ces symptômes disparaissent dans les 7 jours ou après l’arrêt de l’utilisation.
Lors d’une administration par voie intraveineuse, une irritation des veines (phlébite) a été observée dans certains cas, en particulier en cas d’injection à des concentrations excessives (> 80 ppm) ou lors d’une application trop rapide, notamment si le pH n’a pas été préalablement ajusté avec une solution de bicarbonate à un pH de 7,4-7,6. Ce type de traitement est strictement réservé aux médecins et aux chercheurs dans le cadre du protocole d’Helsinki (AMA).
Stockage : le concentré de CDS est de préférence conservé au réfrigérateur dans des flacons pharmaceutiques en verre brun. Le bouchon doit toujours être fermé hermétiquement pour éviter toute déperdition de gaz, car il est très volatil. Lors du transport, la température n’était pas un facteur déterminant dans la mesure où les flacons sont fermés hermétiquement. Le CDS est sensible par la lumière ultraviolette ; il est donc conseillé de le conserver à l’abri du soleil et de préférence dans des lieux sombres ou protégés de la lumière. La couleur jaune est une bonne référence pour la concentration et tant qu’elle est jaune (couleur de l’huile de tournesol ou jaune verdâtre), elle est efficace. Si la couleur s’est estompée avec le temps, il suffit d’augmenter la quantité en fonction de son utilisation. Aucune preuve scientifique n’a été apportée sur le fait que le CDS affecte le plastique PET …… à la concentration quotidienne diluée – je ne comprends pas la fin de phrase- Comme tous médicaments et substances spéciales, il doit être conservé hors de la portée des enfants.
Types de CDS : deux méthodes existent pour produire du dioxyde de chlore : le CDS et le CDE. La première méthode utilise un mélange de composants, dans lequel le précurseur, le chlorite de sodium [NaClO2], additionné d’un acide (acide chlorhydrique[HCL] ou citrique) dont seul le gaz est capturé dans un bocal en verre rempli d’eau; ou en faisant barboter le gaz dans l’eau par pompage. – voir la version espagnole au sujet du premier mot acide qui semble être en trop- La deuxième méthode est le CDE (dioxyde de chlore électrolytique), qui produit du dioxyde de chlore par électrolyse et, de préférence, par microfiltration. Cette deuxième méthode ne contient aucune trace d’acide et convient donc mieux à l’injection intraveineuse, dans la mesure où le pH est adéquatement ajusté. La solution injectable, nommée CDI (dioxyde de chlore pour injection), est mélangée à du sérum physiologique NaCl (0,9 %) et sa concentration s’élève à 50 ppm.
Question fréquemment posée : quel devrait être le pH du CDS dilué dans de l’eau et pourquoi est-ce si important ? Le dioxyde de chlore étant un gaz, le pH de la solution diluée du protocole C est en principe déterminé par le pH de l’eau utilisée. Dans la mesure où l’eau utilisée pour la dilution est légèrement acide, le protocole C sera légèrement acide. Si une eau neutre est utilisée alors la solution diluée se situera dans une fourchette neutre ; si de l’eau légèrement alcaline est utilisée alors la solution aura un pH supérieur à 7.
Pour la prise orale, la valeur du pH est secondaire car les sucs gastriques sont fortement acides, avec un pH compris entre 1 et 2. La plupart des boissons, telles que la limonade ou les boissons gazeuses, ont un pH inférieur ou égal à 3.5 et sont des lors plus acides que le CDS.
De l’eau de mer peut être ajoutée au protocole C ; toutefois, cette solution doit toujours être bue fraîchement préparée -sans la laisser reposer pendant plusieurs jours-, ceci afin d’éviter que les minéraux présents dans l’eau de mer n’interagissent avec le CDS. -pourquoi parle-t-on de jour et non d’heure. le CDS se prépare chaque jour!- L’eau de mer peut être bue seule ou après le protocole C.
Mesure : la concentration de CDS peut être mesurée de plusieurs manières :
1) Bandelettes de test (La Motte 3002) (valeur 10-500 ppm) nécessitant une dilution. – M majuscule en espagnol pour Motte-
2. titrage chimique (iodométrie) : analyse chimique quantitative en laboratoire utilisée pour déterminer la concentration.
3. Spectrophotométrie (Mara ClO2gamme étendue) (gamme 10-4000 ppm) permet de déterminer la concentration et la présence de substances autres que le ClO2. Aucun réactif ni consommable ne sont requis.
Les bandelettes sont la méthode la plus simple mais elles manquent de précision. Le titrage (iodométrie) est plus précis mais complexe à la fois, tandis que la spectrophotométrie est la méthode la plus rapide et la plus précise.