Questions fréquentes

Il semblerait que le CDS ait atténué de graves effets secondaires toxiques chez des patients sous chimiothérapie. Personnellement, je ne peux pas défendre la stratégie de l’intoxication d’une tumeur, ceci parce qu’un patient cancéreux décède en principe d’une insuffisance hépatorénale, empoisonné par les substances toxiques de la tumeur, libérées dans le flux sanguin et non par la tumeur elle-même. L’efficacité de la chimiothérapie ne dépasse généralement pas les 3% : 97 personnes traitées sur 100 meurent. De plus, le cisplatine et le carboplatine ont pour réputation de pour provoquer des cancers diffus, dans les années qui suivent le traitement. C’est le pain pour aujourd’hui et la mort pour demain.

Bien qu’en principe on puisse dire que 1 ml de CDS correspond à environ 3 gouttes de MMS, ceci n’est pas tout à fait juste : tout dépend du mode d’application. En cas d’application cutanée, cette proportion est plus ou moins juste. Cependant, en cas de prise par voie orale, le MMS peut provoquer une réaction secondaire à cause des acides gastriques, faisant ainsi augmenter considérablement la quantité de dioxyde de chlore gazeux. Le taux d’acidité des sucs gastriques de chaque individu est un facteur déterminant, en fonction des valeurs individuelles et dynamiques : ces valeurs peuvent varier au cours de la journée (matin ou soir) et si la personne est à jeun … Aucune comparaison n’est donc possible.

Par voie orale et pour les lavements rectaux, une goutte correspond à 1 ml de CDS à 0,3 % (= 3 000 ppm).

Rien à voir ! Ce sont deux substances différents et elles ne doivent jamais être confondues. L’hypochlorite correspond à l’eau de Javel.

C’est pareil. Et si vous vous trompez d’une goutte, le résultat ne changera pas beaucoup non plus – la concentration n’est pas un indice de pureté. Un chlorite de sodium de bonne qualité ne contient, tout au plus, que 1% de chlorate de sodium (NaClO3), voire même moins.

Le dioxyde de chlore libéré dans le corps n’affecte pas les alliages de la prothèse. Les matériaux utilisés pour les prothèses sont inaltérables.

Oui, elle peut boire du MMS ou du CDS. Cependant, il ne faut pas oublier que les plombages au mercure sont nocifs pour la santé et qu’ils devraient être retirés dans les meilleurs délais.

A notre connaissance, il n’affecte pas le stérilet. En fait, le dioxyde de chlore est un spermicide et il sert, dans une certaine mesure, de contraceptif si la douche vaginale est pratiquée immédiatement après le rapport sexuel. Par ailleurs, il prévient également, de manière convaincante, les infections sexuellement transmissibles.

Nous disposons d’un cas pratique contrôlé??? qui, pendant quatre ans, a pris du MMS à raison de six à huit gouttes par jour et n’a eu aucun effet négatif. Toutefois, il convient de prendre note qu’en cas de prise de Sintrom® -warfarine/coumadine-, le dosage peut être légèrement sous-dosé, afin d’obtenir une valeur optimale. La prudence est de mise.

A ce jour, aucune interaction n’a été observée dans la mesure où le CDS est pris espacé de 60mn des autres médicaments. Aucune interaction n’est connue à ce jour, et il n’y en aura probablement aucune, sachant que l’agent actif est un gaz volatil. En revanche, la vitamine C contrecarre l’effet du CDS à cause de son potentiel antioxydant élevé de -0,8 V (REDOX).

Au fil des années, j’ai pu observer de très bonnes synergies avec les traitements phytothérapeutiques, homéopathiques et les médecines alternatives en général.

En principe, le MMS tue les parasites unicellulaires ou de petite taille. Ceci n’est pas le cas pour les grands parasites multicellulaires, tels que l’ascaris ou le ténia, même si les symptômes peuvent être limités.

En principe, jusqu’à guérison complète. Il faut être à l’écoute de son corps sans agir méchinalement.

Le protocole C est en principe le plus adapté en cas de doute. Toutefois, le dosage doit être augmenté ou diminué, en fonction des besoins individuels. La fatigue, et dans certains cas les nausées, peuvent indiquer que la dose maximale tolérable est atteinte.

Une tension artérielle trop élevée ou trop basse reflète une réaction de l’organisme à une situation sanitaire critique. En résolvant le problème qui est à l’origine de la perturbation de la tension artérielle, les symptômes disparaissent tout simplement. Il existe de très nombreux cas qui prouvent que la prise de CDS a résolu les perturbations artérielles précitées. En réduisant l’acidité, le CDS éliminerait les causes de l’hypertension et de l’hypotension.

Nous n’avons aucune preuve qu’il affecte négativement la flore intestinale. Le CDS est absorbé par l’estomac sous forme de gaz dissout dans l’eau. Le CDS agit en fonction du pH et les agents pathogènes dangereux ont généralement un pH plus acide que le reste de l’organisme, de même pour les bactéries qui sont en symbiose avec ce pH acide. D’autre part, en tuant les bactéries, il ne provoque pas de déséquilibre et de toxicité comme les antibiotiques.

Ce n’est pas la quantité de MMS qui compte, à condition qu’elle soit suffisante, puisqu’il s’agit d’une saturation (voir la vidéo « COMMENT FAIRE DU CDS »), mais bien la coloration finale du CDS, qui est une indication fiable de la concentration de dioxyde de chlore dans l’eau. En d’autres termes, plus la quantité de MMS dans l’eau est importante, plus la réaction est forte. In fine, il vaut mieux connaître le temps requis au gaz pour se diluer dans d’eau contenue dans le deuxième récipient. Il est possible de retirer le récipient lorsque l’eau a acquis la bonne nuance de jaune clair, comparable à l’huile de tournesol.

La durée dépend du récipient et de la température. À une température de 5°C et dans un récipient en verre hermétiquement fermé (ne jamais utiliser de bouchons métalliques ou x en caoutchouc), il peut se conserver jusqu’à six mois, tout en restant efficace. Une fois ouvert, il doit être conservé au réfrigérateur. Lorsque le récipient n’est que partiellement rempli de CDS, le gaz s’échappe dans la partie vide, tout comme une bouteille de boisson gazeuse qui a été ouverte puis refermée.

Dans la mesure où le CDS n’est pas exposé à une température supérieure de 60°C, aucun problème de transport n’est à craindre, à condition que le récipient soit bien fermé et intégralement rempli. La concentration ne doit pas dépasser 3000 ppm pour des raisons de sécurité.

Cela dépend de sa concentration. L’autorisation légale pour le dioxyde de chlore en la forme forme liquide est légalement autorisé jusqu’à 3000 ppm. Au-delà de cette concentration, des réactions spontanées peuvent se produire, en particulier à la lumière du soleil.
A l’état liquide, il est stable. Il n’est pas recommandé de le conserver trop concentré, ainsi tout danger peut être écarté. En revanche, le dioxyde de gaz peut exploser en cas de changement soudain de pression ou de température.

Pas vraiment, mais il perd de sa concentration et, in fine, il ne reste plus que de l’eau. Et la perte de concentration n’est pas dangereuse. Cette perte de concentration peut être compensée en augmentant le dosage.

Oui : nous avons eu de très bons résultats, surtout lorsque l’individu est infesté de Candida albicans, un champignon, ce qui est pratiquement le cas dans 95% des cas.

Le Dr Julián Rabanaque, gastro-entérologue, a trouvé un lien direct de cause à effet, bien que de nombreuses recherches restent à réaliser.

En principe le dosage suivant est efficace, soit 1 ml de CDS à 3000 ppm, par année d’âge. Pour les enfants jusqu’à 10 ans, il faut le diluer dans de l’eau et le répartir en 4-10 prises pendant la journée. Le dosage peut être augmenté progressivement pour les cas aigus ou graves.